18 mai 2013

Fidji


09.10.2012/10.10.2012 : (nous perdons une journée à cause des décalages horaires)


Vol de 9h pour se rendre aux Fidji avec une escale à Christmas Island.





... ça à l'air très beau, mais on ne sait pas si ils ont de l'électricité ...


Hôtesses très sympas qui nous dorlotent mais surtout Bernard qui recevra de nombreux verres de vin !!


Arrivée au couché du soleil ... 


Par contre à notre arrivée les douaniers sont moins cool. Ils nous prennent tous nos avocats que nous avions cueillis à Hawaii. On se trouve alors délesté de nos supers bons repas en vue, ainsi qu’un sandwich que les gentilles hôtesses nous avaient offert. On se sent plus léger mais en peu triste ! Au stand d’information qui est en fait un agence de voyage on nous dégote un « backpaker » pas loin de l’aéroport. Là on nous accueille comme des papes : on nous installe dans des canapés et on nous propose un repas pendant que l’on nous prépare notre chambre. La vie aux Fidji commence bien et le repas de poulet et pomme-de-terre fut génial. On ira se coucher, contre toute attente avec le ventre plein et bien fatigué.


11.10.2012 :


Nuit au calme (sauf un ou deux avions le matin). Kesa, la charmante dame qui nous a accueilli, propose de nous aider à planifier notre voyage et de nous préparer un repas pour le soir. La suite des Fidji se présente de mieux en mieux…Nous nous rendons dans la ville de Nadi qui se résume à une grande rue avec des boutiques et magasins de chaque côté. Il y a aussi un grand marché de fruits et légumes qui fera notre bonheur. Deuxième constat (après celui de la gentillesse et de la générosité des fidjien) : la vie est heureusement en général moins chère qu’à Hawaii. Le lait, le pain, les fruits et légumes sont assez bon marchés, par contre le vin et la bière sont en peu chers. Donc notre troisième constat : les parents seront en désintoxication d’alcool et la famille fera une cure de vitamine ! On commencera par une exception, comme on est invité à souper, on est bien obligé d’amener deux bouteilles de vin ! On se régalera du bon souper de Kesa et terminons la soirée au bord de la plage ou Bernard et les enfants en profiteront pour se baigner malgré la nuit.


12.10.2012 :


On se rend à Port Denarau qui est la marina de Nadi. Endroit très sympa rempli de magasins, de bateaux de croisières et de musique sur la place centrale. Ici c'est la police qui joue ...





On se renseigne sur les prix pour louer un bateau mais on est obligé de prendre un skyper et c’est trop cher. Nous rendrons à Nadi par une « route » très cahotique où Morgane et moi passerons tout le trajet debout car les trous nous font bondir de notre siège ! Mais ceci nous a permis de visiter l’arrière pays. L’après-midi sera consacré à la plage dans une eau brulante où on aura toutes les peines d’y sortir. On partagera à nouveau notre repas avec nos amis fidjien.


13.10.2012 :


Trajet en bus sur une route goudronnée pour Sigatoka.





Une dame du marché tient à faire une photo avec Joshua ... ici les touriste sont rare en ville ... ils sont enfermé dans les Ressorts !


On trouve un camping à Kulukulu où là encore on est reçu avec beaucoup de gentillesse grâce à Kesa qui lui avait téléphoné.





Le terrain attenant à leur maison et magnifique et nous sommes qu’à 5 minutes de la plage que nous testerons après avoir installé notre campement.





14.10.2012 :


Avant le lever du soleil il fait froid et on regrette les sacs de couchage laissés à Nadi. Il souffle toujours mais en peu moins fort que la veille au soir. On part à la plage où les enfants feront une belle cabane pour protéger Carine du vent.





Agréable baignade avec une eau plus fraiche qu’à Nadi et surtout avec beaucoup de courants et de jolies vagues.





L’endroit entouré de dunes et il n’y a personne, un endroit parfait pour nous même que la plage est couverte de détritus d’arbres. Là aussi c’est du sable noir (comme à Nadi).





15.10.2012 :


On va au Kula Eco Park qui est une sorte de zoo, mais certains animaux sont en semi-liberté.





Les enfants nourriront 2 tortues,





on voit des perroquets





dans des volières dont un nous mangera la lanière de notre sac.





Il y a aussi des chouettes,





des volatiles divers,








et même une star de télé ...


 ... célèbre dans une série des année 80 ...


des serpents, des poissons,





des chauve-souris,





des iguanes ...





et de beaux arbres avec de très bonnes explications.





Le chemin dans la forêt est joli et on mettra près de 4 heures pour faire le tour. Les enfants pourront même porter des iguanes ...





... et surtout, pour le plus grand bonheur de Morgane, ils pourront prendre un boa dans les mains !





Le soir il pleut mais heureusement nos tentes sont bien étanches. Merci Laurent, nouveau patron du Globetrotter à Genève, pour ses bons conseils !!! On est resté sec.


16.10.2012 :


Départ pour les Sand Dunes depuis notre campement.





Il ne fait pas trop chaud car cela souffle bien. Belle balade de 3h seuls et entraînement de saut à ski dans les dunes ...





... sieste pour les autres ...





... puis la pluie fait son apparition. On finira notre promenade en costume de bain (histoire de ne pas mouiller nos habits) et trempé. Les enfants en profiteront pour se baigner sous la pluie. En faisant un concours des plus longs et hauts sauts dans le sable. Morgane nous fera une belle démonstration avec une chute qui lui fera mal au popotin pendant plusieurs jours ! Bernard ensuite partira acheter le souper. Les Fidjiens lui feront à nouveau une démonstration de leur générosité et de leur entraide. Une personne fera le tour de la ville pour lui trouver du poisson et une autre fera le tour du marché pour acheter les bons ingrédients afin de préparer une « ceviche », poisson cru mariné dans du citron. Bernard ne fut pas déçu de ces rencontres et Carine et les enfants non plus car le repas fut excellent.


17.10.2012 :


Après la pluie du matin, nous partons en bus pour aller voir le « Kalevu Cultural Centre ». Il s’agit d’un village recomposé avec toutes les explications et démonstrations vivantes de la culture des Fidji.





Malheureusement aucun guide n’est disponible mais nous pouvons faire le tour des maisons typiques du pays avec les explications à l’intérieur.





Nous rentrons en peu déçu de notre excursion mais les enfants seront contents car ils auront le temps de se baigner.





... non, pas ici : les plages sont magnifiques mais le corail est souvent à fleur d'eau. Donc impossible de se baigner par marrée passe !





18.10.2012 :


Départ en bus pour Sigatoka, puis pour Pacific Harbour.En face de la poste, Bernard voit un écriteau qui indique une place de pique-nique. Il va se renseigner et la propriétaire nous montre un magnifique coin où on peut monter notre tente,





à 20 mètres de l’eau.





On est enchanté car l’endroit est très sympa.





Le couple est super sympa et Bernard demande où on peut manger un « lovo » spécialité des Fidji. L’homme lui propose d’aller faire les courses le lendemain à 8h30 et qu’il nous en ferait volontiers un ! Nous allons nous baigner dans une eau super agréable.





Le soir on se rend à pied à l’autre bout du village pour aller manger dans un restaurant indien.


19.10.2012 :


Petit déjeuner et Bernard part avec David pour faire les courses pour notre lovo. Ils achètent du poulet, oignon, du terreau (sorte de pomme-de-terre)





et les feuilles ...





... qui serviront à emballer un mélange de lait de coco et viande. Pendant ce temps Morgane, Joshua et Carine aideront la femme à préparer le diner. Nous essaierons de râper la noix de coco





(on y est arrivé, mais à quelle vitesse ?). On pellera de l’ail et de l’oignon. Une fois la noix de coco râpée il faut en extraire le jus.





Elle emballe dans un treillis la noix de coco râpée puis l’essore pour en extraire le jus. Elle mélangera ce jus avec de la viande de corned beef, l’ail et l’oignon et emballera le tout dans les feuilles de terreau





... puis dans du papier d’aluminium. Le poulet sera noué dans une feuille de cocotier.





Pour la préparation du lovo : ils font un trou dans le sol. Ils font un feu de bois et mettent dessus des cailloux.





Une fois que les cailloux changent de couleur, ils enlèvent le bois du feu, mettent les cailloux dans le trou, mettent la nourriture dessus, et recouvrent le tout de feuille de cocotier puis une bâche et enfin de la terre dessus. Si de la fumée continuait à s’échapper, ils remplissaient le trou par de la terre.





Le repas fut un vrai régal, surtout les feuilles de terreau. Le poulet avait un goût fumé est était aussi très bon. L’après-midi Joshua jouera au foot avec les jeunes du camp, puis on ira dans l’eau et pendant que les enfants feront un château de sable, Bernard et Carine iront faire une jolie promenade le long de la plage. Le soir on voulait manger du pain et du fromage mais David vient nous chercher pour finir les restes du midi. On se régalera une fois de plus. On passe une excellente soirée en leur compagnie.


20.10.2012 :


Tous sauf Bernard ont la diarrhée depuis la veille. Mais on n’a pas trop mal au ventre et on ne doit pas courir toute la journée aux toilettes, donc ce n’est pas trop grave. Le matin, alors que l’on veut commencer le petit déjeuner par terre devant notre tente, David vient avec un plateau avec du thé dessus. Il nous dit de venir se joindre à eux pour manger, ce que l’on fit volontiers. Moment très agréable et aux revoir pleins d’émotions. Départ en bus pour Suva avec la femme de David. A Suva il pleut des cordes. Joshua veut aller à la Rainforest et Carine aussi mais Bernard et Morgane ne sont pas chauds. Il est vrai que nous n’avons pas d’habits de rechange. On continue notre route sur Rakiraki qui est supposée être la ville la plus sèche. Arrivés là-bas il pleut encore plus qu’à Suva. Joshua nous avait dit dans le bus que s’il pleuvait à Rakiraki, il nous tuerait ! On a de la chance, on est toujours vivant. En descendant du bus on va se réfugier sous l’auvent d’un supermarché. On demande à la première personne que l’on voit s’il y a un endroit pour planter notre tente ou un petit hôtel. La dame nous suggère d’aller chez elle dans un petit village à environ 5 km de Rakiraki. Le village s’appelle Raicivaici. On hésite un moment et lui proposons d’aller faire les courses pour le souper pour toute la famille. Bernard et Vesau partent acheter le souper pendant que plein d’autres personnes s’agglutinent autours des enfants et de Carine pour poser plein de question. On n’est pas très à l’aise car tout le monde nous regarde étrangement. C’est comme cela que commencera une belle histoire d’amitié et de partage.
Carine commencera par une arrivée remarquable en glissant, de nuit, dans la boue. Ses vêtements sont trempés et sales. Bravo, qu’elle bonne mise en matière. On est reçu comme des papes par Apete et ses 3 fils : Bula, Suli, Tucana et une fille Salote. On nous fait visiter notre chambre composée de deux lits doubles. Vesau nous prépare un repas sublime composé de : saucisse, poulet, riz et des pâtes. On discute un moment assis par terre. On nous explique le fonctionnement du village : il y a un chef (qui pour l’instant ne vit pas dans le village) et qui est soit le frère soit le fils du chef précédent, un messager (qui se trouve être Apete) qui a un porte-voix et qui va à 7 endroits différents (afin de s’assurer que tout le village est bien entendu son appel) pour annoncer les réunions dans le village. C’est à lui aussi qu’il faut s’adresser si un « étranger au village » veut y entrer. Personne n’y vient sans y être invité même pas la police. Cette personne est élue pour 4 ans. Il y a aussi, dans le village, un pasteur et un prof d’école. Après avoir plus ou moins saisi le fonctionnement on va dormir. On se rend vite compte que la famille ne croule pas sur l’or. Tout est simple : le salon est composé d’un vieux canapé sur lequel il ne vaut pas la peine s’assoir, un tapis de « jute » fait par Vesau et deux lits. La cuisine comprend une table, 6 chaises et un meuble de rangement. Dans notre chambre à part les 2 lits il n’y a rien de plus à part une lampe de chevet. Il y a deux éviers pour la vaisselle mais pas de lavabo ni de douche, ni de salle de bain. L’eau du reste ne fonctionne pas souvent.


21.10.2012 :


C’est dimanche, jour de la douche et de l’église et le temps c’est heureusement amélioré. 


En se levant il y a déjà plein de personnes qui se tenaient devant la maison pour voir notre tête.





On a vraiment l’impression d’être des bêtes sauvages mais tout le monde est super accueillant et chaleureux avec nous. On commence par un copieux déjeuner puis on nous habille « dignement » pour la baignade dans la rivière. Carine devra porter une jupe pour aller se baigner. Pleins d’enfants et d’adultes se joignent à nous pour s’y rendre. L’eau est trouble à cause des pluies de la veille et tout le monde a le savon pour se laver, nous faisons de même. Une expérience inoubliable… .


De retour au village, on nous prête des habits et on se change pour l’église.





Bernard et Joshua portent une chemise des fidji (bula shirt) et leur pantalon long,


 


et les filles une jiaba qui est une robe typique de l’île. En rentrant dans l’église le culte avait déjà débuté (mais ici les gens entrent et sortent pendant la cérémonie donc c’est normal), par contre tout le monde se retourne pour nous regarder. Nous ne sommes pas très à l’aise mais droit derrière le pasteur Robert nous souhaite en anglais la bienvenue, et ensuite continue son culte en fidjien. Tout le monde nous regarde avec un grand sourire et nous applaudit. Ensuite l’ambiance est géniale. Les gens chantent et il y a même un orchestre… . On se lève, on danse et Robert mais beaucoup d’ambiance. Joshua me chuchotera que si les églises étaient comme cela dans notre pays, il irait plus souvent. Enfin un autre moment mémorable pour toute la famille. A la sortie tout le monde vient nous saluer puis retournons chez nos hôtes ...





... et dinons.





L’après-midi nous retournons à l’église avec à nouveau une super ambiance. Pendant le culte tout le monde doit se lever et serrer la main à toutes les personnes présentes. Heureusement nous ne sommes pas très nombreux mais à chaque main tendue on nous raconte quelque chose. Cela prendra alors du temps mais une fois de plus c’est super sympa. Morgane, elle, suit le culte avec ses copines loin de nous. Ensuite les enfants partent à nouveau se baigner avec tous les autres enfants dans la rivière, tandis que Bernard, Apete et Carine vont se promener dans les alentours du village.





L’endroit est charmant, entouré de collines, d’animaux et de verdure.





Comme dit Bernard, c’est l’endroit où toutes les familles rêveraient d’habiter. Dans le village il n’y a pas de voiture (du reste le chemin qui amène au village n’est pas goudronné), les enfants jouent toujours tous ensemble sans crainte qu’ils leur arrivent quelque chose, ils peuvent aller à pieds à l’école ou prendre un petit bus et il y a une rivière où on peut se baigner. Un rêve. Mais d’un autre côté ici personne n’a de luxe (sauf peut-être le natel). Personne n’a de salle de bain, c’est pourquoi ils veulent construire une communautaire, les familles cuisinent au feu de bois





et s’ils ont de la chance et de l’argent ils se paient le luxe d’avoir une bouteille de gaz. L’eau ne fonctionne pas toujours, mais une fois de plus la communauté voudrait faire réparer l’arrivée d’eau dans le village, faute d’argent cela n’est toujours pas fait. Le mobilier dans les maisons est très simple sans aucun luxe non plus.





L’électricité fonctionne par prépaiement donc ceux qui ne peuvent pas payer n’ont pas d’électricité. Ici tout le village vit de la canne à sucre. Chacun a ses propres terres et ses propres plantations.


 bannanes


 manguiers dans la nature.


Par contre leur travail ne dure que 6 mois, le reste du temps les hommes n’ont pas de salaire ni d’occupation. Parfois ils trouvent du travail dans les fermes des alentours, sinon ils doivent subvenir à leur besoin sans avoir aucun revenu. La constatation que l’on peut faire c’est que les gens n’ont pas d’argent, par contre ils ont tous une maison, des terres cultivables et un cheval ...


 ... et des vaches.


Donc personne ne dort dans la rue et personne n’a rien a mangé. On apprendra aussi que l’alcool est interdit dans le village et que l’on n’a pas le droit de porter une casquette si on se promène entre les maisons ! Enfin plein de nouvelles choses à apprendre pour pouvoir vivre ici. Mais finalement leur vie n’est pas aussi malheureuse que l’on pourrait s’imaginer. De retour de leur baignade les enfants profiteront soit de jouer au foot,





... soit d’apprendre quelques mots de fidjien et ensuite on se met à table pour un repas simple mais très bon.


22.10.2012 :


Nous étions censés partir ce matin, mais c’est impossible avec l’ambiance qu’il y a ici. Nous décidons de rester un jour de plus. Petit déjeuner puis on part avec les quelques enfants du village, qui n’ont pas voulu aller à l’école car Morgane et Joshua étaient là, faire une balade à cheval jusqu’à la rivière. On prend le cheval d’Apete et à leur tour Morgane et Joshua montent sans selle dessus souvent accompagnés d’un autre enfant du village.





Arrivés à la rivière les enfants restent sur leur monture et se baignent avec le cheval.





Moment magique pour eux. Le cheval n’a parfois pas son fond et il nage avec un enfant dessus.





Après le repas de midi, les enfants repartiront faire du cheval ...





... tandis que leurs parents resteront avec leurs hôtes et les nombreux visiteurs.


 ... dont Robert, le pasteur, au premier plan.


 et le retour des enfants.


On se régalera d’un dernier souper avec eux.


23.10.2012 :


Cette fois on fait nos au revoir à cette charmante famille et aux enfants et partons pour Lautoka puis Nadi. Morgane aura beaucoup de mal à quitter ces gens et le trajet en bus fut en peu « tristounex » Arrivés à notre hôtel nous organisons la suite de notre séjour au Fidji qui se résumera à plage et farniente sur une petite île de rêve.


Semaine du 24.10.2012 au 30.10.2012 :


Départ pour 1 heure de bateau et arrivée sur notre sympathique ile.





On installe notre campement sur la plage





et sous les cocotiers à 5 mètres de l’eau.





Nous ne pouvons espérer mieux pour une semaine de repos.





Nous passerons notre temps entre « bouffe »





excellente et typique des Fidji, et masque/tubas








sur les plages avoisinantes ...








on a même eu la chance de nager avec des requins.





Oui, vous avez bien lu, des requins !!! Joshua a du reste eu la peur de sa vie quand un requin lui est passé sous les pieds. Ils faisaient environ entre 1,50m et 1,80m de long. Heureusement il s’agit de requins de corail, et ils sont inoffensifs si on ne les attaque pas. Morgane, elle, a vu deux fois des énormes raies. Sinon nous avons aussi été sur l’île où a été tourné le film de « seul au monde » ou « castaway» avec Tom Hanks.





C’est une île paradisiaque sans aucune habitation et avec une magnifique plage d’eau turquoise





où nous ferons aussi du masque/tubas.








Nous nous sommes aussi testés dans la varappe. Morgane a maudit Carine (qui disait toujours que l’on pouvait y aller) car elle a eu peur. Il est vrai que la grimpée a été impressionnante, mais nous n’avons pas trouvé un autre chemin pour aller tout en haut.






Malheureusement nous n’aurons pas le temps de faire le tour de l’île. Sinon nous avons aussi passé de magnifiques soirées avec Daniel et Eléonore, Andrea et Stefan









(Morgane a adoré taquiner ce sympathique italien), Virginia et Eduardo





(que l’on aura le plaisir de revoir à Auckland) et un autre couple de sud-américain.






Retour le 30.10.2012 à Nadi après en "slalom" entre une partie des 333 îles que comportent les Fidji.





31.10.2012 :


Départ à 6h30 du matin avec le taxi qui nous attend, direction aéroport. Là une bonne surprise nous attend : Vesau et déjà là (la femme du fameux village qui nous a si gentiment accueilli). Elle nous avait dit qu’elle essaierait de venir nous dire au revoir, et elle est là.





Après un dernier au revoir et quelques larmes, nous partons pour Auckland en Nouvelle Zélande. Les Fidji c’est tout simplement ça !


 ...ont déclaré les enfants !!!

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire